Sur la route du Tour, Ibis fait le buzz au sein de la caravane publicitaire

Après une longue période d’absence, la marque Ibis revient pour trois ans sur le Tour de France avec ses deux marques Ibis Budget et Ibis Styles. Une expérience exaltante que nous avons eu le privilège de vivre au sein de la caravane publicitaire le dimanche 7 juillet au départ de Troyes dans l’Aube.

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Quatre véhicules et treize caravaniers composent la caravane publicitaire Ibis. ©David Savary

Deux marques mais une même ambiance, celle d’une grande ferveur populaire sur la route du Tour. La famille Ibis (groupe Accor), déjà partenaire en tant que fournisseur officiel du Tour de France entre 2006 et 2017 revient donc cette année avec ses deux marques économiques Ibis Styles et Ibis Budget (voir ci-dessous). Un contrat signé pour trois ans et qui couvre aussi bien l’édition masculine que féminine.

Avec ses plus de 600 établissements en France et en Europe, c’est l’opportunité pour Ibis de mettre en place « des activations exclusives » afin de (dé)montrer son savoir-faire en matière d’hospitalité et sa proximité des voyageurs spectateurs tout au long des 3 492 kilomètres de cette 111ème édition de la Grande Boucle. Outre des animations permettant de gagner des goodies au départ et à l’arrivée de chaque étape, le dispositif inclut également quatre véhicules (deux Ibis Budget et deux Ibis Styles) au sein de la caravane publicitaire.

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Un char qui na manque pas de style et qui fait la joie des photographes. ©David Savary

Equipes pros et coureurs à l’aise dans les hôtels Ibis

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À gauche Biniam Germay, déjà vainqueur de deux étapes sur l’édition 2024, et le Français Hugo Page. ©David Savary

Sur l’étape de Troyes, tout commence à l’hôtel Ibis Styles situé en centre-ville. Un établissement dans lequel sont hébergés deux équipes engagées sur la Grande Boucle : Decathlon AG2R et La Mondiale et Intermarché-Wanty qui comprend notamment le leader au classement du maillot Vert (récompensant le meilleur sprinteur) et vainqueur de l’étape la veille, l’Erythréen Biniam Girmay. Un coureur qui apparait détendu juste avant de prendre le départ. Lors de cette édition 2024, près de 60 hôtels ont été recensés sur ou à proximité du parcours. À l’image de celui situé à Troyes, 12 d’entre eux accueillent des équipes professionnelles.

Occasion nous est donnée d’embarquer dans l’un des quatre véhicules aux couleurs d’Ibis. Après un bon petit-déjeuner, c’est donc avec joie que nous prenons un van pour rejoindre le parking de la caravane publicitaire. C’est ici que sont stationnés tous les véhicules. Ils sont 150 représentant quelque 35 marques. « Il faut compter environ 40 minutes entre le passage du premier et le dernier » affirme Estelle Paillat, Brand content manager chez Ibis.

La choré pour bien se chauffer avant de partir

Avant que tout le monde ne se lance sur les 199 kilomètres de l’étape du jour, l’ensemble des caravaniers – ils sont 13 chez Ibis – se retrouve pour une chorégraphie matinale au son de la musique impulsée par l’animateur d’une autre marque partenaire, Krys. « Cela permet de se chauffer et ça donne tout de suite la pêche » concède la responsable communication chez Ibis.

Ambiance avant le départ de la caravane publicitaire. ©David Savary

11h20, l’heure du grand départ a sonné. Le long cortège s’élance et défile dans les rues de Troyes. Les cieux sont cléments et la foule dense et compacte au rendez-vous. « La caravane publicitaire est divisée en quatre quarts. Nous sommes placés en troisième position du troisième quart » explique Valentin Alexandre, Brand Experience – Travel & Hospitality chez Ibis Hôtels. Un placement qui ne doit rien au hasard et qui demeure immuable tout au long des 21 étapes.

La pause pipi, « à la guerre comme à la guerre »

Pour les invités, les consignes de sécurité sont très strictes. Une corde ou une lanière pour son smartphone. Ne jamais tendre son bras pour un check, « le public pouvant être dangereux involontairement ». Rester solidement harnaché, la ceinture sur le char s’apparente d’ailleurs à celle utilisée dans les montagnes russes. Si d’aventure quelqu’un se lève pour faire une photo ou une vidéo, cela entraine l’immobilisation du char pour l’étape en cours. Quant à la pause pipi, une seule et elle ne doit pas excéder cinq minutes. « Il faut faire vite. Chacun regarde droit devant soi, à la guerre comme à la guerre » soulignes Jacques, le pilote du char Ibis Budget.

La liesse des gens massés en bord des rues et des routes est aussi incroyable qu’énergisante. Ambiancés par une entrainante bande son, les mains se tendent en nombre pour recevoir des goodies, chez Ibis des masques et de magnifiques casquettes, « du peloton au polochon » ou « Par ici le style ».

« On a les meilleurs hôtels, les meilleurs coussins, les meilleurs oreillers »

Sur le char Ibis Styles, c’est Camille qui est chargée de l’animation alors que sur le véhicule Ibis Budget, c’est Giovanni qui s’en occupe. « On a les meilleurs hôtels, les meilleurs coussins, les meilleurs oreillers » clame-t-il au micro. Le confort n’est pas un vain mot. À l’arrière du char, nous sommes parfaitement lovés dans nos sièges et profitons pleinement du spectacle. Au centre du véhicule, une immense « tirelire-cochon » invite ponctuellement le public à lancer d’énormes pièces pour espérer gagner des cadeaux.

Ayant quitté la ville de Troyes, le joyeux et coloré convoi continue sa route. Il n’empruntera pas les fameux chemins blancs (de petites routes de campagne ou de vignes en graviers utilisées par les agriculteurs locaux) car « le risque est trop grand d’endommager la chaussée » fait savoir un chauffeur. Qu’à cela ne tienne, on passe juste à côté. Environ deux heures avant le passage des coureurs, les spectateurs ne veulent manquer pour rien au monde la caravane publicitaire.

Une danse contre un cadeau

« Une petite danse et vous avez le droit à un cadeau » annonce Giovanni. Aussitôt dit, aussitôt fait. Un sexagénaire bedonnant exécute quelques mouvements du bassin, « c’est validé ». Et Laetitia, hôtesse sur le char Ibis Budget, lui adresse un masque de sommeil logoté. « Et oui nous avons des masques MBappé » complète l’animateur déclenchant une bonne humeur contagieuse en bord de route. Face à des spectateurs enthousiastes et déchainés, des milliers de goodies sont ainsi distribués tout au long de l’étape.

Ici ou là des cibles confectionnées maison, « vise-ici » ou des parapluies ouverts à l’envers sont tendus à l’endroit des caravaniers. En roulant, ce n’est pas toujours facile de viser juste, surtout lorsqu’il y a du vent. Dosches, Bergères, Baroville, Fontette, Neuville-sur-Seine, Beurey, Clérey…, les villes et villages défilent en musique ponctuées par les croustillantes interventions de Giovanni, « on a les meilleurs hôtels, on a les prises à côté du lit ».

Beauté des paysages sur « la Route touristique du Champagne »

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Les paysages enivrants de la Champagne viticole. ©David Savary

Sous un soleil bien présent, les paysages traversés sont d’une somptueuse beauté. En particulier les coteaux du vignoble champenois. Entre les différents sommets boisés et les nombreuses vignes en terrasses qui s’enroulent autour de charmants villages et de leur clocher emblématique, ça sent bon la France. Oui, on se sent bien un dimanche de juillet sur la route du Tour de France.

Le casse-croûte vite avalé, nous poursuivons notre périple sur « la Route touristique du champagne ». Casquettes, masques de sommeil…, les hôtesses gardent le rythme et s’efforcent de contenter tout le monde. Les véhicules Ibis Budget et Ibis Styles circulent en quinconce afin que les spectateurs puissent être servis des deux côtés de la chaussée. À l’intérieur d’une voiture ouvreuse, Christopher, le chef caravanier chez Ibis, s’assure que tout se déroule sans problème.

« J’ai été conçu dans un hôtel Ibis »

Un peu moins de 17h00, le retour sur Troyes approche. Toujours autant de monde, c’est incroyable. « Il y a tout le monde qui dort chez nous, même la gendarmerie et les pompiers. Et même ma mère, elle a lâché son appartement pour dormir chez Ibis tous les soirs » avoue publiquement Giovanni qui évoque aussi les nuits enfiévrées « d’Angelina Jolie, Brad Pitt, Marion Cotillard ou encore Thomas Pesquet » au sein des établissements Accor. L’animateur qui n’est plus à une confidence près confie même qu’il a été « conçu dans un hôtel Ibis ». Pas de doute, il sait y faire pour mettre l’ambiance et créer le buzz.

Le bonheur de voir passer la caravane publicitaire. ©David Savary

En espace VIP à l’arrivée

Peu après la ligne d’arrivée, après 200 bornes de bonheur, nous sommes déposés à l’espace VIP Tourmalet. C’est aux premières loges, une coupe de champagne à la main, que nous assistons au dénouement de l’étape. Cerise sur le gâteau, c’est un Français, Anthony Turgis de l’équipe TotalEnergies qui s’impose. Après Romain Bardet et Kevin Vauquelin, le troisième cocorico sur ce début de Tour. Une bien belle journée qu’Ibis Styles et Ibis Budget ont eu à cœur de faire vivre à leurs invités.

Fournisseurs dans la catégorie « hôtellerie et hébergements touristiques », les deux marques du groupe Accor ont également signé un partenariat de trois ans avec le Tour de France féminin qui débute de Rotterdam le 12 août prochain. Alors que cette année des animations avaient lieu dans les hôtels sur des étapes clés (Dijon, Troyes, Nîmes, Nice), en 2025 et 2026, ce sont l’intégralité des établissements Ibis Styles et Ibis Budget qui proposeront des activations spécifiques en lien avec le Tour de France. Un choix assumé et motivé que de s’associer à cet évènement populaire et sportif à la portée internationale.

Les petites boucles à vélo à l’occasion de la Grande Boucle

Afin de se mettre dans l’ambiance du Tour de France, les hôtels Ibis Budget et Ibis Styles proposent de belles balades à vélo dans les villes étapes du Tour. Un bon moyen de concilier sport et tourisme.

  • À Dijon : Un itinéraire au cœur du prestigieux vignoble de Bourgogne pour parcourir à vélo, en deux ou trois jours, les 72 kilomètres qui relient Dijon et son hôtel Ibis Styles Dijon Central à Santenay. Les villages traversés portent des noms familiers des amateurs de vin : Beaune, Vosnes-Romanée ou encore Nuits-Saint-Georges, village de départ de l’étape 7 du 5 juillet dernier.
  • À Troyes : Les adeptes du cyclotourisme profiteront du dépaysement offert par la voie des lacs. Tout au long du parcours, depuis Troyes jusqu’aux superbes points de vue sur les lacs de la Forêt d’Orient, cette déambulation à vélo d’1 heure 30 se veut « un must » dans la région. Une exploration à mener avec pour camp de base l’Ibis Styles Troyes Centre.
  • À Nîmes : Depuis le centre-ville, où se situent l’Ibis Budget Nîmes Centre Gare et l’Ibis Styles Nîmes Gare Centre, on part sur les traces du chef d’œuvre de l’empire romain, le Pont du Gard, célèbre pont-aqueduc antique et classé patrimoine mondial de l’Unesco. En route vers ce site incontournable, de charmants villages typiques ponctuent agréablement le parcours.
  • À Nice : À la découverte de « Nissa Bella » et sa Baie des Anges. Avec l’hôtel Ibis Styles Nice Centre Gare, en plein cœur de ville, et l’hôtel Ibis Budget Nice Californie Lenval qui se situe face à la mer, on profite d’une escapade à vélo le long de la célèbre Promenade des Anglais, lieu d’arrivée du Tour de France le dimanche 21 juillet prochain.

Ibis Budget et Ibis Styles, deux enseignes au concept différent

Avec leur logo sous la forme d’un oreiller d’un code couleur différent, les deux marques de la famille Ibis possède chacune leur propre identité. Fort de 346 établissements dans l’Hexagone et de nombreuses adresses dans les pays étrangers où passent notamment les coureurs cette année (comme en Belgique et aux Pays-Bas pour le Tour de France femmes), Ibis Budget propose « un accueil chaleureux à tous ceux qui souhaitent recharger leurs batteries avec l’essentiel du confort à petit prix et un petit-déjeuner gourmand, avant de repartir à l’aventure ».

De son côté, avec ses 262 hôtels en France, Ibis Styles revendique une identité tournée vers le design. Chaque établissement est conçu sur la base d’un concept unique inspiré de l’histoire, de la culture et de thématiques créatives. « Cela peut être sur le thème des écureuils ou du tatouage » souligne Valentin Alexandre, Brand Experience – Travel & Hospitality chez Ibis Hôtels. La marque se destine aux créatifs et affirme une volonté de rendre le design accessible à tous. Chaque hôtel possède donc son propre storytelling selon un thème précis. Il y a autant de design que d’hôtels ibis Styles avec derrière « une hôtellerie fonctionnelle, économique et toujours originale ».

Davantage de renseignements ici.

David Savary

Rédacteur en chef
Contact: david.savary@sport-et-tourisme.fr

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