« 10 km des Étoiles » : « C’est complet depuis plus d’un mois »
La septième édition des « 10 km des Étoiles », qui se tient au cœur de Paris le dimanche 23 mars, affiche complet depuis des semaines. Un succès qui confirme l’engouement croissant pour cet événement alliant sport, convivialité et découverte du patrimoine parisien.
« Tout le monde veut venir, mais nous n’avons plus un seul dossard ! » regrette Paul Pécriaux, fondateur de l’agence Lemon Grass, organisateur de la course. « Nous sommes sincèrement désolés pour ceux qui n’ont pas pu s’inscrire ». Face à cet engouement, il anticipe un record de participation en 2026, avec un seuil historique qui pourrait être franchi.
Dans dix jours, à 09h30, les coureurs partiront de la place du Palais Royal où sera installé le Village pour un parcours exceptionnel le long de la Seine et des plus beaux monuments de Paris. L’événement se distingue par une répartition équilibrée entre les sexes, avec 48,2% de femmes inscrites. « Nous sommes la seule course avec un tel niveau d’équité » se félicite Paul Pécriaux.
Dédiée aux professionnels de l’hôtellerie-restauration et du tourisme, la course des « 10 km des Étoiles » rassemblent chaque année 100% des palaces parisiens et la quasi-totalité des grands groupes hôteliers, qui financent les dossards de leurs salariés. Un moment de cohésion unique pour le secteur.
Vers les 10 000 participants en 2026
La course soutient également plusieurs associations : Laurette Fugain pour le don de moelle osseuse, Antoine Alléno pour les jeunes victimes d’accidents de la route, Syndrome de Barth contre une maladie génétique rare et Tout le monde contre le cancer. L’édition 2025 accueillera également Nicolas Sale, ancien chef du Ritz Paris et président des Disciples Escoffier.
Le Village des partenaires, qui sera installé près de la ligne de départ/arrivée, offrira à partir de 7h30 petit-déjeuner, animations et échauffement en musique. Tous les finishers recevront t-shirt, sac et médaille.
L’édition 2026 devrait dépasser les 10 000 participants. « Nous voulons garder une course qualitative et un moment unique pour notre secteur. Mais l’engouement est tel que ce record sera probablement atteint dès l’année prochaine » conclut Paul Pécriaux.
