Afrique du Sud : bienvenue dans le pays arc-en-ciel
Safaris, route des vins, sport outdoor… L’Afrique du Sud offre aux visiteurs une grande variétés d’activités et permet de se plonger dans une histoire sombre qui l’a menée jusqu’à devenir la nation arc-en-ciel.
L’Afrique du Sud a bien plus à offrir que ses safaris, même s’ils peuvent être le seul motif d’un voyage. Ainsi, le Kruger National Park, le Pilanesberg National Park ou le parc national d’Hluhluwe-Imfolozi permettent d’approcher les Big Five, que sont les lions, éléphants, léopards, buffles et rhinocéros. Les villes sont aussi d’autres raisons de visiter le pays. On commence par Cape Town, connue, évidemment, pour sa proximité avec le Cap de Bonne-Espérance, le bout du monde de l’Afrique.
La Route des jardins, le long de la côte sud, permet de découvrir des belles plages isolées, de magnifiques forêts et de jolis villages. A la Route des jardins, on peut préférer la Route des vins et les immenses vignobles de Stellenbosch, Franschhoek et la région de la vallée de l’Hex River.
A ne pas manquer : une visite guidée de Robben Island, là où Nelson Mandela a été emprisonné et aussi, la bouleversante visite du musée de l’Apartheid.
On y va quand ?
L’Afrique du Sud se visite toute l’année en raison de sa diversité climatique. L’été, entre novembre et février, les températures sont élevées, en particulier dans les régions intérieures et du nord. Les plages sont très prisées pendant cette période, en particulier sur la côte est, y compris à Durban. Les parcs nationaux et les réserves de safari offrent de bonnes possibilités d’observation de la faune, car les animaux se rassemblent autour des points d’eau.
L’automne (mars à mai) est une période idéale pour explorer les villes, les vignobles et les régions montagneuses. L‘hiver en Afrique du Sud est une saison sèche, avec des journées ensoleillées et des nuits fraîches à froides. C’est la saison de pointe pour les safaris, car la végétation est moins dense, ce qui facilite l’observation de la faune. Au printemps, la végétation reprend vie, ce qui rend certaines régions, comme le Namaqualand, célèbres pour leurs tapis de fleurs sauvages. Pour résumer, l’automne et le printemps sont souvent considérés comme des périodes idéales pour voyager en raison de leurs températures modérées et de leur temps généralement agréable.
Qu’est-ce qu’on y mange ?
L’Afrique du Sud propose une cuisine diversifiée. Citons le braai qui est l’équivalent sud-africain d’un barbecue. On y grille généralement de la viande, comme du boeuf, de l’agneau, du poulet, ou des saucisses. Le boerewors, une saucisse épicée, est à tomber. Originaire de Durban, le bunny chow est un plat de rue populaire. Il s’agit d’un quartier de pain évidé et rempli de curry, généralement de l’agneau ou du poulet. Aliment de base en Afrique du Sud, le pap est une bouillie de maïs qui ressemble à de la polenta. Il est souvent servi avec une sauce tomate épicée appelée « sous » ou avec du chutney.
Revenir avec trois souvenirs
Une œuvre d’art
L’Afrique du Sud est célèbre pour son artisanat traditionnel, notamment les sculptures en bois, les bijoux en perles, les tapisseries et les poteries. Vous pouvez trouver ces articles dans les marchés artisanaux, les galeries d’art et les villages locaux.
Du vin
L’Afrique du Sud est réputée pour sa production de vin de qualité. Les régions du Cap, comme Stellenbosch, Franschhoek et Paarl, sont célèbres pour leurs vignobles.
Des peluches
Si vous avez fait un safari en Afrique du Sud, vous voudrez peut-être rapporter des souvenirs liés à la faune africaine, tels les peluches d’animaux sauvages, les t-shirts, les livres sur la faune et les photographies de vos propres rencontres avec les animaux.
Davantage de renseignements sur la destination ici.
Surnom de l’équipe de rugby : les Springboks.
Camp de base de l’équipe : Toulon.
Palmarès : Triple championne du monde (1995, 2007, 2019).
À l’occasion du match Afrique du Sud – Tonga, retrouvez ci-dessous notre chronique tourisme en podcast (à la mi-temps) dans l’émission « Rendez-vous en Ovalie » présentée par Christophe Pacaud sur Radio Sports :