Skoda, par amour pour le vélo
Partenaire majeur du Tour de France, sponsor du Maillot Vert récompensant le meilleur sprinteur, le constructeur automobile Skoda est également le fournisseur des voitures officielles de toute l’organisation de la Grande Boucle. Possédant son propre char au sein de la caravane publicitaire, la marque est pleinement investie sur la course la plus prestigieuse au monde. Mais son implication dans l’univers le cyclisme dépasse le seul cadre de la Grande Boucle. Skoda est en effet à l’origine du programme « We Love Cycling » qui fédère une communauté de passionnés. À la clé, des espaces de discussion et surtout des sorties à travers tout le territoire.
Très peu le savent. Mais l’histoire de Skoda débute avec le vélo. En 1895, Laurin & Klement, les fondateurs de la marque en République Tchèque, ont en effet commencé par construire des… vélos. Cela ne s’invente pas. Il n’y a donc rien d’incongru à ce que le constructeur soit l’un des partenaires majeurs les plus visibles sur la Grande Boucle. « Notre programme de sponsoring s’est imposé de façon évidente » déclare Océane Arnould-Dupuy, Responsable événements et sponsoring de Skoda France, qui rappelle non sans fierté que les voitures de cette « marque grand public » sont « au cœur de l’évènement », « faisant même partie intégrante de la course ». De la voiture rouge N°1 (voir ci-dessous) du directeur Christian Prudhomme à celles qui composent la caravane publicitaire (voir ci-dessous) en passant par les invités VIP, ce sont au total plus de 250 véhicules Skoda qui circulent les routes des 21 étapes du Tour entre Bilbao et Paris.
Depuis vingt ans déjà, Skoda s’est lié d’amour avec le Tour de France. Une belle histoire qui n’est pas prête de s’arrêter (le renouvellement du contrat avec ASO devrait être annoncé en septembre) et qui se matérialise par la mise en place de nombreuses activations en lien avec la course. Convié à l’échelon course le mercredi 5 juillet sur l’étape 5 entre Pau et Laruns, puis au sein de la caravane publicitaire le lendemain sur l’étape 6 entre Tarbes et Cauterets-Cambasque, j’ai pu en faire la savoureuse expérience.
Une journée en course au sein de la Skoda Superb N°532
« Bienvenue à la course cycliste la plus spectaculaire au monde ». Skoda sait recevoir et gâter ses invités VIP à l’occasion de cette 110ème édition du Tour de France. Tout commence par un dîner le soir de notre arrivée à Oloron-Sainte-Marie dans les Pyrénées-Atlantiques. Vainqueur de trois étapes et de l’épreuve en 2010, le luxembourgeois Andy Schleck, ambassadeur de la marque sponsor du maillot vert, est présent. Disponible pour répondre à toutes les questions. Les chauffeurs Skoda, trois à l’avant course et deux au cœur de le l’épreuve, nous sont présentés.
De bon matin avec Andy Schlek, ancien vainqueur du Tour
Le lendemain matin très tôt, c’est Andy Schleck qui est chargé d’animer les « Early Bird », une petite sortie à vélo dans les environs proposée à chaque étape. Equipés comme les cadors du peloton, nous arborons fièrement notre tenue. Les vélos qui nous sont prêtés – des Cervélo – sont incroyables de maniabilité et de fluidité.
Petit transfert ensuite vers le Village Départ à Pau, histoire de bien profiter de l’ambiance d’avant course. L’opportunité surtout d’aller dans les paddocks et d’observer de près les vélos des pros exposés au pieds des rutilants mobile-homes des 22 équipes participantes. Dans ce va-et-vient permanent, il n’est pas rare de croiser d’anciennes gloires de la petite reine. Et même des coureurs en activité qui partent rejoindre le podium signature.
Le nom des invités VIP est floqué sur la voiture
Midi. Il est temps de monter à bord de la Skoda Superb Laurin & Klement (du nom des fondateurs de l’entreprise) couleur gris graphite et verte aux finitions parfaites. Rien n’est négligé. Le nom des invités, trois par véhicule, est même floqué sur la voiture. C’est toujours bon pour l’égo. Paul Moucheraud (voir ci-dessous), un ex cycliste professionnel, est notre chauffeur. À l’échelon course, la direction d’ASO n’autorise la présence que d’anciens pros. Légitimés par les coureurs, ils connaissent toutes les ficelles du métier. Notamment la manière dont se déplacent les sportifs, leurs intentions, leur changement de comportement ou d’allure en course… L’exercice requiert aussi des aptitudes particulières, comme la maitrise de la conduite sur les routes de montagne, là où les cyclistes peuvent parfois se montrer plus rapides que la voiture. D’ailleurs un stage est obligatoire pour prendre le volant sur les quelque 3 400 km du parcours entre Bilbao et Paris.
À l’intérieur de la berline, les pilotes peuvent communiquer entre eux. Ils utilisent également Radio Tour pour être informés en temps réel sur la situation de la course. Des instructions, ralentir, accélérer, leur sont aussi données pour éviter toute ingérence sur le bon déroulé de l’épreuve. Une tablette diffuse en direct la retransmission de l’étape du jour sur France Télévisions. Pratique.
Un tour en hélico au-dessus du peloton
Quelques kilomètres après le départ, Skoda nous convie à un tour en hélicoptère pour observer le peloton vu du ciel. Juste avant de monter, nous avons le droit à une coupe de champagne. La classe ! Tout là-haut, à quelque 300 mètres du sol, les paysages pyrénéens se dessinent sous nos yeux et révèlent leur fascinante beauté.
Vient ensuite le moment du déjeuner. Assis. En bord de route et à l’abri du soleil. Là encore rien n’est négligé. Par souci d’écologie, le repas est servi dans des verrines. C’est bon mais il faut faire vite car le peloton, lui, n’attend pas. 36 coureurs sont à l’avant. Avec le col du Soudet et celui de Marie-Blanque au menu, la journée s’annonce dantesque pour ce qui constitue cette première étape de haute montagne.
On a jamais vu les coureurs d’aussi près
Paul a repéré les « short cuts », les raccourcis qui permettent de s’immiscer dans la course. L’écart étant suffisamment conséquent entre les échappées et leurs poursuivants, nous avons l’autorisation de nous positionner derrière les coureurs. Dans le col de Marie-Blanque, nous les remontons par petites grappes. On ne les a jamais vus d’aussi près. Certains mêmes nous apostrophent, « Vive la France, vive l’Italie », ou nous font un petit signe comme l’Américain Nelson Powless, porteur du maillot à pois du meilleur grimpeur. Un rêve d’enfant se réalise.
Concentrés sur leur effort, les visages de ces champions dans la montée portent les stigmates de la souffrance. Il fait très chaud. La foule est dense. Les supporteurs s’écartent au dernier moment. Certains se font même rouler sur les pieds. On acclame. On hurle. On éructe. C’est aussi cela la magie du Tour. À moins d’offrir un abri aux coureurs derrière la voiture ou leur tendre une bouteille d’eau, impossible de les aider. De toute façon les commissaires veillent. On en viendrait presque à culpabiliser tant on est confortablement installés dans la Skoda Superb.
Attention au « BTM, Bagages, Train, Maison »
Dans la descente, on comprend tout de suite les qualités nécessaires pour maitriser le véhicule hybride. En mode sport ou confort, Paul Moucheraud excelle dans l’art du pilotage. Un œil dans le rétro, l’autre dans les lacets qui serpente devant lui, il prend les trajectoires au cordeau. À plus de 100 km/h. Mais il ne faut pas faire n’importe quoi au risque de se faire exclure de la course, avec le fameux « BTM » ou « Bagages, Train, Maison » comme on dit dans le jargon.
Devant l’Australien Jai Hindley s’en va gagner l’étape longue de 163 km entre Pau et Laruns. Il prend le maillot jaune. Le lauréat sortant Jonas Vingegaard prend du temps au double vainqueur de l’épreuve Tadej Pogacar. À l’arrivée l’orage menace, mais il ne pleut pas. C’est depuis le « Car Podium » dans ce décor pyrénéen de carte postale que notre journée se ponctue. Les pilotes n’ont pas fini leur mission. Ils reconduisent leurs invités à l’hôtel situé parfois très loin. Ce n’est pas grave. Une expérience en immersion sur la plus célèbre course cycliste au monde qu’on n’est pas prêt d’oublier.
Paul Moucheraud, un ancien pro, devenu pilote qui attend le Tour avec impatience
Il n’a pas le palmarès d’Andy Schleck mais il voue la même passion pour son sport, le cyclisme. Professionnel durant deux ans au sein de l’équipe Roubaix Lille Métropole à la fin des années 2000, Paul Moucheraud dispute son sixième Tour de France en tant que pilote. « Une aventure estivale » qu’il attend chaque année « avec impatience ». L’occasion aussi de revoir d’anciens coureurs dont certains sont devenus « des potes » tel Mathieu Perget, naguère chez l’équipe Caisse d’Épargne-Illes Balears.
Pour avoir le droit de conduire sur le Tour, il faut au préalable avoir réalisé un « petit stage de deux jours en Ile-de-France ». « On y fait des exercices de réflexe. Des évitements, des freinages d’urgence, mais aussi le positionnement dans les courbes ou le passage dans des zones très étroites » explique Paul Moucheraud.
Un chauffeur et des anecdotes
Directeur technique au sein de l’École du Ski Français de Val Thorens, le quadragénaire n’hésite pas au volant à raconter de nombreuses anecdotes. Comme celle d’un invité qui lui a confessé qu’il avait vécu « le plus beau jour de sa vie » mais surtout de ne pas en dire un mot à sa femme qui pourrait « mal le prendre ». Ou encore cette après-midi de juillet 2021 lorsque Paul suit Julian Alpahilippe dans la descente du Mont Ventoux, « j’étais la seule voiture derrière lui, il a pu recoller au groupe de tête ». Paul Moucheraud, évoque aussi son père Maurice, ancien champion olympique par équipe à Melbourne en 1956, ami de Jacques Anquetil, et qui a vécu une aventure avec la chanteuse Dalida durant trois mois.
Ce qui est formidable dans la voiture, c’est que l’on a le temps d’échanger. De discuter des coulisses, sur l’approche des coureurs en course. C’est passionnant. Paul Moucheraud semble intarissable. Ayant pris « un mois de congés » pour conduire ses invités sur les 21 étapes du Tour, il a déjà dans un coin de sa tête la course suivante, l’Artic Race of Norway, du 17 au 20 août, « visuellement c’est la plus belle, celle que tout le monde veut faire ».
À l’air libre, sur le char de tête dans la caravane publicitaire
Pour figurer en tant qu’invité au sein de la caravane publicitaire, les places sont chères. Quatre seulement chaque jour sur le char Skoda. J’ai droit à ce privilège jeudi 6 juillet lors de la sixième étape entre Tarbes et Cauterets-Cambasque. Deux heures avant le passage des coureurs, ce défilé festif et coloré est tout aussi attendu que les meilleurs cyclistes du monde.
L’impression de partir en vacances
Durant les 21 étapes, c’est chaque matin le même rituel. Les quelque 150 véhicules de la caravane représentant 33 marques sont regroupés sur un parking technique dans la ville de départ. Ils ont été nettoyés et vérifiés. C’est l’heure des derniers préparatifs. Juste avant le départ, les 570 caravaniers se réunissent pour une petite chorégraphie. C’est parait-il une tradition, et ça donne tout de suite la pêche.
Casqué, installé au volant, Philippe, le pilote du char vert Skoda, est soumis à un contrôle d’alcoolémie. Tolérance zéro. Enfin le long cortège s’élance sous un chaud soleil dans les rues de Tarbes. J’ai l’impression de partir en vacances. Sur le bord des routes, la foule est compacte et exubérante. Harnaché, Romain l’animateur au maillot vert donne de la voix. La sono crache quelques bons vieux tubes. Une ambiance incroyable qui va se prolonger tout au long des 145 kilomètres de l’étape.
Un défilé festif et coloré sur 10 kilomètres
Juste derrière les voitures chargées d’ouvrir la voie, le char Skoda est le premier de ce sympathique ordonnancement qui s’étale sur environ 10 kilomètres. C’est bien sûr une belle visibilité pour la marque. En plus de ce nouveau char célébrant les 20 ans de partenariat avec la course, six véhicules sont présents dans le cortège. Au son des vivats de la foule, les hôtesses font pleuvoir les goodies. Des bobs, des t-shirts ou des sacs cabas notamment. À l’image des véhicules qui sont 100% électriques, les cadeaux se veulent éco-responsables. Le plastique est banni. Intégré aux cadeaux, un QR-Code permet aux spectateurs de le scanner et d’être redirigés vers un jeu-concours permettant de gagner une Skoda Fabia.
En ville, sur des routes de campagne ou dans les cols, des familles entières ou groupes d’amis sont rassemblés afin de profiter du spectacle. Jeunes, vieux, riches, pauvres…, je vois défiler la France entière sous mes yeux. J’ai un peu aussi l’impression d’être acclamé. Ils sont nombreux à avoir soigneusement décoré leur camping-car, installé la table de pique-nique… Cela fait des heures qu’ils patientent en plein soleil. Déjà vêtus du maillot à pois ou du maillot vert, ils quémandent joyeusement les fameux petits cadeaux. Les hôtesses les lancent au ras du sol façon frisbees pour éviter qu’ils ne reviennent sur la route. La sécurité avant tout.
De joyeux drilles nous aspergent de bière, nous voilà baptisés
Le passage dans le col d’Aspin et plus encore dans celui du Tourmalet, le plus haut du Tour avec ses 2 115 mètres d’altitude, est particulièrement impressionnant. Il est même parfois difficile de se frayer un chemin au milieu de cette foule bigarrée et bruyante. Au volant, Philippe assure. Exaltés comme jamais, des spectateurs vous font un « check ». Dans les lacets, nous voyons le reste du convoi. De joyeux drilles nous aspergent de bière. Nous voilà baptisés. Cela fait partie de l’expérience. Un peu plus loin, un homme, visage fermé, affirme via une pancarte que « la terre est plate ». Juste après, de jeunes gens, dans un accoutrement improbable, presque nus, nous hurlent dessus. Plus sages, des juilletistes fans de vélo, brandissent des écriteaux à la gloire de leur champion, « Allez Alaphilippe », « Allez Pinot ». Une ambiance de dingue. On adore.
Cela fait plus de quatre heures que Romain se déhanche au son de la musique et vante les mérites de Skoda, « partenaire majeur du Tour de France ». De temps en temps, il s’assoit sur un vélo fixé sur le char et pédale. Des holàs sont lancées. La communion avec le public est totale. À l’air libre, dans un décor d’une absolue beauté, nous savourons l’instant présent. En bord de route, les gens vous donnent de l’amour. Nous n’avons pas assez de mains pour tous les saluer. C’est beau une France colorée et festive. C’est beau la caravane publicitaire. Encore plus quand on a la chance de vivre tout cela de l’intérieur.
« We Love Cycling », « communauté de cyclistes amateurs la plus puissante en France »
Lancé en France en 2016, le programme « We Love Cycling » vise à « communiquer sur le vélo sous toutes ses formes et s’adresse à tous les niveaux » explique Océane Arnould-Dupuy, Responsable événements et sponsoring de Skoda France. Bretagne, Normandie, Ile-de-France…, différents clubs locaux, « 12 actuellement », sont animés et coachés par des Capitaines. « Avec 28 000 adhérents, nous sommes la communauté de cyclistes amateurs la plus puissante en France » proclame la responsable.
Du simple pédaleur du dimanche à l’acharné de la petite reine, des sorties pour tous
Chaque week-end, des sorties (route, VTT, triathlon) sont organisées et adaptées aux différents niveaux, du simple pédaleur du dimanche à l’acharné de la petite reine. L’objectif est de partager sa passion de rouler et de vivre des expériences uniques et conviviales au sein de clubs. Des espaces de discussion intégrant des histoires, des portraits ou des conseils sont proposés sur les réseaux sociaux. « Tous les mois, un challenge permet de faire gagner des cadeaux, par exemple des invitations sur le Tour de France » ajoute Océane Arnould-Dupuy qui précise que la plus grande épreuve cycliste au monde constitue « un très bel outil pour valoriser la notoriété de la marque ».
Depuis vingt ans Skoda est associé à la Grande Boucle. Avec depuis 2015, le parrainage du Maillot Vert correspondant au meilleur sprinteur. « Cela fait sens pour nous, poursuit Océane. Le sprint représente la vitesse. Et puis notre logo est vert et, nous jouons sur le côté green en lien avec le développement durable et la protection de l’environnement ». À noter qu’un nouveau maillot couleur vert émeraude est proposé cette année.
Les femmes ne sont pas oubliées
Skoda n’oublie-pas non plus le Tour de France Femmes (du 23 au 30 juillet entre Paris et la mythique Planche des Belles Filles) avec lequel il s’engage pour la deuxième année consécutive. À l’instar du Tour de France Hommes, le constructeur tchèque fournira la flotte automobile à ASO avec 33 véhicules prévus pour l’organisation. Skoda, qui sera naturellement sponsor du Maillot Vert, a également noué un partenariat avec la Jurasienne Evita Muzic, nouvelle ambassadrice de la marque. Au sein de la caravane publicitaire, ce sont quatre véhicules (deux Enyaq nacelles et deux Enyaq Coupé) plus le char qui seront sur les routes des huit étapes du Tour de France Femmes.
La Skoda Superb rouge, celle du patron du Tour, modifiée pour l’occasion
Il s’agit de la voiture N°1. Celle que tout le monde regarde. Et que tout le monde envie d’une certaine façon. C’est en effet à bord de ce SUV 100% électrique que Christian Prudhomme, directeur du Tour de France, gère la course. Cette voiture pas tout à fait comme les autres. Elle a en effet été modifiée pour répondre aux exigences de la course. Le toit panoramique ouvrant a été décalé afin que le patron du Tour puisse lancer le départ des étapes depuis les places arrière. Une console centrale a été ajoutée à l’arrière pour la glacière. La voiture aménagée dispose d’une gamme impressionnante d’équipements techniques, parmi lesquels six antennes radio sur le toit, plusieurs microphones et quatre canaux radio installés sur une console à l’avant. À noter que la boite à gants a été démontée afin d’intégrer le châssis pour Radio Tour. C’est de cette voiture que Christian Prudhomme transmet les ordres, organise la circulation autour du peloton et reste en contact permanent avec les commissaires de course et les autres voitures sur le Tour. Avec un minibar à bord, la Skoda Superb accueille chaque jour une personnalité, comme le président de la République sur l’étape entre Tarbes et Cauteret-Cambasque. Enfin sachez que la voiture rouge est le seul véhicule autorisé à franchir la ligne d’arrivée avec les coureurs.
Skoda et le Tour en chiffres
- Depuis 2004, 20ème Tour de France.
- Depuis 2015, 9ème édition partenaire du Maillot Vert.
- 250 véhicules Skoda sur le Tour de France.
- Une quinzaine de mécaniciens qui œuvrent jusque très tard dans la nuit.
- 100% des voitures de l’organisation en course en version hybride rechargeables ou 100% électriques : Enyaq, Octavia iV et Superb iV.
- Au travers différents département, près de 80 personnes mobilisées.
- Un ambassadeur, Andy Schleck, vainqueur du Tour en 2010.
- Un stand au Village Départ.
- Cinq anciens cyclistes professionnels (Staf Scheirlinckx, Paul Moucheraud, Pedro Horrillo, Mathieu Perget et Tomas Vaitkus) pour accompagner les invités VIP.
Davantage de renseignements ici.