À quand le soleil !
Ciel gris, averses, températures en berne, à quelques semaines de l’été, on pouvait espérer mieux que la météo que nous subissons actuellement. Un mauvais temps qui perturbe nos activités et qui ne profite pas vraiment à l’activité sport et tourisme.
Mais quand est-ce que cela va s’arrêter ? En ce moment c’est un peu la question qui nous obsède tant jour après jour on se prend des sceaux d’eau sur la tête.
Il y a une quinzaine de jours, j’ai fait une itinérance vélo entre Vienne (Isère) et Valence (Drôme). Un périple sympathique sur un territoire ô combien attrayant mais qui s’est soldé par trois jours à pédaler sous des pluies diluviennes. Plus récemment je me suis rendu à l’inauguration du Centre de Distribution des Panoplies des Volontaires de Paris 2024 à l’UFR STAPS à Paris. Très bien. Mais, en raison de pluies incessantes, l’évènement qui devait se tenir à l’extérieur a finalement pris place dans une petite salle sombre.
Et je ne vous parle pas de Roland-Garros qui contraint les organisateurs à reporter ou interrompre de nombreux matches. Heureusement qu’il y a maintenant deux courts couverts sinon la finale finirait par se jouer à la Saint-Glinglin.
Bon je sais… on n’est pas en sucre. Mais tout même, à l’heure où l’on parle de plus en plus de réchauffement climatique, cette météo exécrable et ces températures anormalement basses pour la saison finissent par atteindre le moral de nombreuses personnes.
Nos séances de running sont perturbées. Les premiers barbecues et balades en bord de mer sont remis à plus tard. Les hôtels, les restaurants et les attractions touristiques subissent une diminution de leur activité. Bref c’est pas la joie.
Cet excédent de pluviométrie possède au moins un mérite. Il nous oblige à s’adapter et faire autre chose. Les activités en intérieur gagnent en popularité. Les infrastructures couvertes, comme les gymnases et les piscines, deviennent des refuges précieux pour maintenir une activité physique régulière. Les salles de fitness se trouvent de nouveaux membres.
Bon… prenons notre mal en patience. Après la pluie le beau temps, disait ma grand-mère. D’ailleurs ne nous plaignons pas trop en ce moment. Car des météorologues craignent une canicule durant la période des Jeux. Avec des températures qui pourraient dépasser les records de 2003. On n’a pas finit d’en reparler de la météo.