La montagne, ça nous gagne même en été
Vendredi 1er avril, à Garches (Hauts-de-Seine), la neige tombait à gros flocons au moment où débutait, sur mon écran d’ordinateur, la conférence de presse de France Montagnes qui offre aux massifs l’opportunité de faire un zoom sur leurs nouveautés… été.
À l’heure où l’hiver joue les prolongations et que la guerre fait rage, sans oublier le Covid qui ne veut pas nous lâcher la grappe, qu’il est bon de regarder toutes ces vidéos proposées par les massifs et se projeter ainsi dans l’été. Dieu, que la France est belle.
Les volcans d’Auvergne, les lacs des Hautes-Vosges, les roads-trips des Hautes-Alpes, les évènements « outdoor » des Alpes du Sud, les balades à la vélo dans montagnes du Jura, celles des Pyrénées… Il ne faut pas chercher longtemps pour trouver des activités adaptées à ses envies. Le plus dur est de choisir tant les massifs ont à proposer.
En 2020 et en 2021, nous avions tous besoin d’un grand bol d’air et jamais les montagnes n’avaient été autant fréquentées. En 2022, nous aurons encore tous besoin de se ressourcer et le succès des massifs l’été ne devrait pas se démentir.
La bonne dynamique de l’hiver va donc se poursuivre cet été. Une dynamique déjà enclenchée ces jours-ci grâce aux tarifs attractifs et aux journées qui se prolongent.
Et si la montagne reprend des couleurs après être revenue du Diable Vauvert, on va quand même faire un souhait : que l’on continue à s’y rendre nombreux, à l’été 2023, non pour se remettre de rudes actualités mais bien parce ce qu’on la choisie après avoir hésité entre un séjour au Japon, en Chine, Thaïlande, à Kiev ou Moscou.