Comment Airbnb va contribuer à la réussite de Paris 2024
Un nouveau rapport réalisé par Deloitte révèle comment Airbnb devrait contribuer à diffuser les retombées positives générées pendant la période des Jeux au sein de l’Ile-de-France.
Selon un rapport Deloite, plus d’un demi-million de visiteurs devraient séjourner sur Airbnb pendant toute la durée des Jeux Olympiques (du 26 juillet au 11 août) et Paralympiques (du 28 août au 8 septembre), soit environ le double du nombre global de voyageurs accueillis en région parisienne pendant la même période en 2022.
Les hôtes franciliens devraient gagner environ 2 000 euros de revenus supplémentaires en moyenne pendant les Jeux de Paris 2024. Au total, ils devraient collectivement environ 257 millions d’euros sur Airbnb sur l’ensemble de la période. Dès lors, on comprend que près de 20% des Franciliens qui ne louent pas encore leur logement sur Airbnb prévoient de le faire.
Par ailleurs, toujours selon Deloitte, Airbnb contribuera à diffuser les retombées positives pendant la période des Jeux en Île-de-France et à stimuler la croissance économique et la création d’emplois dans l’ensemble du pays : 86 millions d’euros devraient être distribués aux territoires les moins peuplés de la région Ile-de-France pendant la période des Jeux.
Présent dans 99% des codes postaux d’Ile de France, Airbnb devrait contribuer à diffuser les retombées économiques générées pendant la période dans des communes de banlieue dépourvues d’hébergements hôteliers, telles que Vaires-sur-Marne en Seine-et-Marne – hôte des épreuves de canoë-kayak, d’aviron, de para-canoë-kayak et de para-aviron – ou Clichy-sous-Bois – hôte de la course sur route de paracyclisme. Les retombées de ces dépenses devraient bénéficier à de nombreux autres secteurs de l’économie française – du commerce (122 millions) à l’agro-alimentaire (82 millions) en passant par les transports (54 millions) – soutenant ainsi 7 300 emplois équivalents temps plein pendant l’année des Jeux, en particulier dans le secteur de la restauration. 70 millions d’euros de recettes fiscales devraient être reversées aux administrations fiscales locales et nationales, dont 15 millions d’euros de taxe de séjour pour les seules communes d’Île-de-France.